Mercredi 9 mars :des grèves dans le pays
-
"Non à la loi travail". Tous n'ont que cette idée en tête.
Depuis ce matin du mercredi 9 mars 2016, de nombreux groupes ont décidé de faire la grève, d'organiser des rassemblements et de participer à la manifestation. Nous vous proposons de faire le point sur ces actions, vers la mi-journée.
Dès ce matin, Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, a déclaré sur France inter : "il va y avoir du monde dans les rues", estimant que les opposants à la loi travail de Myriam El Khomri seraient nonmbreux à se rejoindre pour manifester contre l'application de la loi.
Il va y avoir du monde dans les rues
Les lycées Sophie Germain (Paris, 4ème arrondissement) bloqué par les poubelles et Newton, à Clichy, ce matin bloqué par les étudiants.
F
à Bordeaux, , Chambéry, Lille et
r
Des manifestations ? Où ça ???
Environ 200 manifestations sont prévus, tout au long de la journée. Pour être plus au courant de toutes ces manifestations, nous vous invitons à aller rendre visite à la Page Facebook Officielle de ces rassemblements.
En tous cas, des ce matin, des lycéens et étudiants étaient rassemblés sur la place de la Nation, à Paris. Ils étaient censés y rester, mais sont vite partis vers la place de la République, où ils on été les premiers manifestants à s'y trouver. Les forces de l'ordre, dépassés par le surnombre, n'ont pu empêcher ces manifestants de passer.
La sation République est fermée ainsi que toutes les correspondances, pour des raisons évidentes de sécurité.
Les noms des ministres inspirent les manifestants à trouver leurs slogans. On peut en voir d'assez intéressants sur la place de la place de la République, à Paris et ailleurs, là où les rassemblements sont les plus importants. Nous vous laissons découvrirla qualité de ces phrases: "Loi El Khomri, quelle connerie !", "Valls, arrête de nous faire Valser" ou encore "Hollande, arrête te Khomri".
Repousser la loi ne suffira pas.
Les décisions attendues de ces mouvements sociaux:
Les manifestants attendent que leurs actions permettent d'empêcher la loi travail. De nombreuse personnes estiment que "la repousser de deux semaines ne suffira pas".
De toutes façons, les étudiants n'ont ils pas prouvés, à la génération prédédente, qu'ils pouvaient suffisamment bien se rebeller, lors de la "Révolution" de 1968, en France ???